Salut Papy…

Nos petits vieux nous font bien du chagrin, en ce moment. C’est bien d’ailleurs le seul moment où ils nous font de la peine, quand ils s’en vont.
Nous partageons la peine de la famille d’accueil de Papyrus qui a dû se résoudre à laisser leur protégé rejoindre le pays où les abandons n’existent pas… Âgé et aveugle, Papyrus n’aurait pas pu supporter le refuge où il est arrivé par la fourrière, hagard et résigné, après avoir été trouvé en plein hiver au bord d’une rivière… Mais grâce à des personnes au cœur immense, il a pu profiter d’une année de chaleur, de douceur et d’affection au sein d’un vrai foyer. C’est peu mais c’est tellement ! Qu’elles en soient ici chaleureusement remerciées.

Papy (5)

A son arrivée au refuge

Papyrus

Après quelques jours dans sa nouvelle famille

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